AIDE INFORMATIQUE PLUS
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Rechercher
 
 

Résultats par :
 


Rechercher Recherche avancée

Derniers sujets
» Jeu Echec Gratuit
Bibliothèques libres EmptyLun 21 Mar - 8:28 par CAT

» 10 ans de chasse aux pirates : la succession de Napster assurée
Bibliothèques libres EmptySam 26 Déc - 12:51 par CAT

» Google Audio : streaming ou téléchargement ?
Bibliothèques libres EmptyMer 28 Oct - 5:55 par CAT

» 150 Chaînes de télé gratuites
Bibliothèques libres EmptySam 26 Sep - 10:32 par CAT

» Pb de synchronisation entre Outlook 2003 sous vista et un smartphone sous windows mobile 5
Bibliothèques libres EmptyLun 8 Juin - 0:36 par FULGONI

» bon site vista
Bibliothèques libres EmptyVen 5 Juin - 5:10 par CAT

» bonjour admin
Bibliothèques libres EmptySam 2 Mai - 19:35 par CAT

» MAINTENANT QUE C'EST NOEL FAUT PREPARER JOUR DE L AN
Bibliothèques libres EmptyVen 2 Jan - 1:23 par CAT

» Linux et la sécurité
Bibliothèques libres EmptyJeu 25 Déc - 1:10 par Admin

Navigation
 Portail
 Index
 Membres
 Profil
 FAQ
 Rechercher
Partenaires
Forum gratuit


Tchat Blablaland


Le Deal du moment : -39%
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
Voir le deal
399 €

Bibliothèques libres

Aller en bas

Bibliothèques libres Empty Bibliothèques libres

Message  Admin Jeu 25 Déc - 1:04

Bibliothèques libres [modifier]


Les logiciels qui utilisent une bibliothèque
libre peuvent fonctionner sur Linux et sur toutes les plates-formes où
la bibliothèque est implantée. Ces bibliothèques peuvent ajouter une
surcouche graphique sur des applications texte déjà existantes comme
c'est le cas de Vim,
mais elles servent surtout à développer des logiciels accessibles aux
non-informaticiens et disposant des fonctionnalités autorisées par les
interfaces graphiques, comme le glisser-déposer, les manipulations à la
souris, etc.
D'autres applications comme Blender ou Google Earth sont un cas à part car ils utilisent la bibliothèque OpenGL destinée à la base à l'implémentation ainsi qu'à la gestion de programmes utilisant la 3D (mais aussi la 2D).

Émulation [modifier]


Plusieurs logiciels d'émulation existent permettant de simuler le fonctionnement de systèmes d'exploitation concurrents ou des environnements de jeu.

Émulation d'ordinateurs [modifier]


Les programmes Steem et ARAnyM émulent une bonne partie des applications écrites pour les machines Atari, notamment les Atari ST et Atari TT, UAE (Unix Amiga Emulator) permet d'émuler le Commodore Amiga, Basilik les anciens Mac 68000 d'Apple. Tous ces émulateurs émulent les microprocesseurs de la famille 68000 de Motorola qui équipaient ces ordinateurs, ainsi que les coprocesseurs spécialisés de l'Amiga.
MESS
(souvent associé a MAME) permet d'émuler de la même façon un grand
nombre de micro-ordinateurs 8bits. Il existe également des émulateurs
spécialisés pour chacun de ces micro-ordinateurs. Euphoric pour les
Oric, FMSX pour les MSX, mais aussi des émulateurs Spectrum, Commodore,
etc.

Utilisation d'application pour Microsoft Windows [modifier]


Des applications développées pour Windows peuvent tourner sous un système Linux via les applications Wine et son dérivé commercial Cedega qui réimplémente[27] le fonctionnement des principales API de Microsoft Windows.
Le microprocesseur n'est pas émulé, seul les fonctions des APS sont
remappées à la volée sur les API utilisées nativement dans Linux. Par
exemple : DirectX utilise OpenGL, la gestion de l'impression est
relayée à CUPS ou LPR, des périphériques USB à libusb, les tablettes
graphiques à XInput, etc. Cela permet dans de nombreux cas des
performances proche de l'execution native, tout en évitant les
problèmes de certains pilotes de périphériques inhérent à Windows. Dans
certains cas spécifiques, les performances de certaines applications
peuvent se trouver dégradées. De nombreux utilitaires, applications de
tous domaines et jeux tournent parfaitement, mais pas tous. Le site de
Wine référence les applications fonctionnant et celles posant problèmes.

Virtualisation [modifier]


En outre, Linux ouvre également la possibilité d'obtenir une
parfaite séparation entre plusieurs environnements virtuels tournant
sur un seul ordinateur physique, en prenant en compte les modules de
virtualisation présents dans les processeurs récents comme AMD-V sur AMD et Intel-VT (ou IVT) sur Intel. Ces environnements de virtualisation
permettent d'exécuter des environnements différents ou plusieurs
environnements similaires sur une même machine, tout en assurant une
certaine sécurité dans la séparation des accès. Ce système est utilisé
depuis longtemps par les mainframes d'IBM. IBM a d'ailleurs porté Linux
sur celles-ci afin de permettre à ses clients de continuer à les
utiliser avec un système plus moderne.
Virtualbox ou VMware
sont plutôt orientés poste de travail, permettant de faire tourner un
système Windows (par exemple) dans une fenêtre et ainsi de garder la
stabilité du système Linux, tout en utilisant certaines applications
disponibles sur ces systèmes. Cela permet de migrer l'environnement de
travail en douceur et sans problèmes. Le système hôte Linux n'est pas
affecté par le système virtuel. Il reste donc utilisable, même en cas
de problèmes que pourrait rencontrer le système virtuel.
Xen est
quant à lui plus orienté serveur, il donnera de meilleurs performances
concernant l'exécution de machines virtuelles pour délivrer des
services.
Il en existe également d'autres, comme Qemu ou encore Bochs qui lui émule aussi le processeur, rendant le système invité beaucoup plus lent.

Prise en charge du matériel [modifier]


La prise en charge de l'équipement matériel est l'une des critiques
principales faites à Linux. En effet, tous les matériels pour
micro-ordinateurs ne sont pas forcément pris en charge directement par
Linux et les pilotes
développés par les constructeurs et compatibles avec Linux ne sont pas
toujours disponibles. Certains fabricants fournissent systématiquement
des pilotes pour Microsoft Windows et Mac OS X, alors que sous Linux, la communauté est souvent obligée de les développer elle-même, souvent par rétro-ingénierie.
Parfois, la communauté préfère développer des pilotes libres stables
bien que des pilotes propriétaires développés par les constructeurs
existent (c'est le cas pour les cartes graphiques ATI ou NVidia).
Dans cette optique, les pilotes nécessaires pour faire fonctionner
pleinement un ordinateur sont intégrés à la plupart des distributions
Linux. Ce sont les périphériques de second niveau qui risquent dans
certaines circonstances de ne pas avoir de pilotes disponibles,
notamment certaines imprimantes, modems, webcams, etc. Cependant les
utilisateurs de Windows ou MacOS sont parfois également confrontés à
des problèmes de pilotes lorsqu'ils installent une nouvelle version de
leur système et l'absence de code source empêche une recompilation
des pilotes propriétaires. Enfin, il arrive qu'il n'y ait des pilotes
que pour Linux, et pas pour Windows ou Mac (supercalculateurs, serveurs
internet haut de gamme, consoles de jeu PlayStation, anciens
périphériques dont le support à été arrêté par les constructeurs…). Le
matériel ancien peut être généralement recyclé sous Linux, car la
pérennité des pilotes libres est également l'un des points fort de
Linux.
La première raison de cette situation est le faible impact de Linux
chez les particuliers, ce qui n'incite pas les fabricants à investir
dans le développement de pilotes pour cet environnement. La seconde
raison est le refus de certaines distributions (Fedora ou Debian,
par exemple) d'embarquer des pilotes sous licences propriétaires, même
quand ceux-ci existent, ce qui oblige l'utilisateur à les trouver et à
les installer manuellement. Enfin, l'absence d'une API fixe dans le noyau Linux oblige les fabricants à délivrer des binaires des pilotes adaptés à chaque version du noyau.
Les utilisateurs qui travaillent sur plusieurs plates-formes et qui
ont besoin de ces pilotes peuvent trouver des versions développées par
de tierces parties, mais de tels pilotes ne supportent généralement
qu'un ensemble rudimentaire de fonctions, et n'apparaissent qu'après la
sortie du matériel, avec un certain temps de latence. Il existe
cependant des mécanismes pour faire fonctionner certains pilotes
développés pour d'autres systèmes d'exploitation (comme NdisWrapper).
Les webcams sont, par exemple, particulièrement concernées par cette absence de pilotes, mais le protocole USB Video Class ou UVC permet de répondre à ce problème avec de nombreuses webcams supportant ce protocole [28].
Aujourd'hui de plus en plus de grands constructeurs font des efforts
pour développer ou fournir les informations pour le développement de
pilotes libres pour Linux, comme Creative Labs pour ses webcams ou
cartes sons [29], Intel (processeurs, chipsets 3D, cartes réseau, etc.) ou des assembleurs (l'Américain Dell [30] et le Taïwanais Asus, poussé par Intel [31], ainsi que les Chinois Lineo ou Everex
vendent par exemple des ordinateurs avec Linux préinstallé, mais de
nombreux autres composants nécessitent de vérifier la disponibilité de
pilotes avant l'achat, s'ils sont destinés à une utilisation sous Linux.
Aujourd'hui, Intel a une véritable stratégie pour s'imposer sur le marché des Ultra-Mobile PC
en proposant aux constructeurs une plateforme construite autour de
GNU/Linux (projet Moblin), c'est le cas récent de la machine EeePC d'Asus et de plusieurs machines du même créneau.
VOIR LA SUITE@+ KIAI sunny
Admin
Admin
Admin
Admin

Messages : 96
Date d'inscription : 21/12/2008
Age : 59

https://aideinformatiqueplus.forumactif.com

Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut


 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum